Défendre le peuple :
Extrait du discours sur la guerre, 2 janvier 1792 [1]
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Défendre le peuple :
Extrait du discours sur la guerre, 2 janvier 1792 [1]
La surprenante intervention du chef d’État major des armées devant le Congrès des maires de France nous conduit à remettre en avant cet article :
En quoi la pensée politique de Robespierre nous parle-t-elle encore aujourd’hui ?
S’il est un texte toujours riche d’enseignements, c’est bien celui-ci.
Invisibles, les parisiennes pauvres ne l’étaient pas pour leurs contemporains, pendant la Révolution.
Brigitte Dionnet les a brillamment remises en lumière ce Samedi 8 novembre 2025à l’Office Culturel d’Arras.
Désormais en ligne ici
Notre ami Edern de Barros qui sera en conférence en avril 2026 à l’invitation de l’ARBR nous annonce la publication de sa thèse : Condillac & Mably .
Qu’est-ce que la galanterie ? Je me propose de présenter ce que fut cette politique de civilisation des rapports entre les sexes et son indéniable présence dans les mœurs, les arts, la culture et la politique de l’époque moderne. Et enfin, de parler de la clef de cette culture qui se trouve dans les Amours paysannes…
L’ARBR vous présente son cycle annuel de conférences 2025-26. Prenez date sur vos agendas.
Comme à l’accoutumée, elles ont lieu à Arras, suivies d’un moment convivial de rencontre et de débat avec les conférenciers. Qu’ils soient ici remerciés . L’entrée est gratuite. Elles sont acccessibles en visio conférence.
J’ai le grand plaisir de vous faire part de la sortie en librairie de mon nouveau livre : « Les nuits révolutionnaires de Paris » aux éditions JEJ, 13 Rue Antoine de Saint Exupery, 18400 Saint‑Florent‑sur‑Cher
Notre amie italienne héritière du Polenordgroup vient de publier un travail important de recherche consacré à Simonne Evrard la compagne de Jean-Paul Marat . C’est avec plaisir et un grand intérêt que l’ARBR vous recommande cet ouvrage.
Ce samedi 21 juin, l’ARBR tenait son assemblée générale annuelle de 10 heures à midi.
Elle fut suivie, l’après-midi, d’une conférence solidement argumentée et illustrée de notre ami Bruno Decriem :
"Billaud-Varenne : Billaud-Varenne : Itinéraire d’un révolutionnaire intègre..
Elle est désormais en ligne ici :
Une conférence de Suzanne Levin, docteure en histoire.
Peut-on réconcilier « terreur », répression et droits de l’homme ? Une réponse à travers le cas de Prieur de la Marne, compagnon de route de Robespierre.
« Éduquer à la raison pour gouverner les peuples. Modalités et enjeux (1789 à 1803) »
par Jean-Luc Chappey, , professeur des universités, historien des sciences,
Elle est désormais en ligne ici
Le droit à la sûreté des personnes et des biens. Impératifs du marché et droit à la bienfaisance : une contradiction du gouvernement révolutionnaire en l’an II ? l’exemple d’Orléans.
Pour revoir la conférence, c’est ici
Lebas écrit une lettre au citoyen Dumont, représentant du peuple dans le département de la Somme à Amiens, le 5 août 1793. Cette lettre est écrite dans un contexte historique majeur dans l’histoire de la Révolution française : celle-ci prend un tournant.
Les plaisanteries sur le supplice de la guillotine n’avaient pas cours seulement parmi le peuple : elles égayaient le monde le plus élégant...
A l’imitation de Paris, toutes les villes se dotent d’une milice et d’une municipalité. Dans les campagnes, une « Grande Peur » se répand ; en effet, on annonce partout la présence de bandes de brigands. Les paysans, faute de brigands, s’en prennent aux châteaux, pillent et brûlent les terriers. L’effroi des privilégiés s’exprime à l’Assemblée dans la nuit du 4 août 1789...
Le jeudi 9 août 1792 :
« Qu’allons-nous devenir ? je n’en puis plus. Camille, ô mon pauvre Camille ! que vas-tu devenir ? Je n’ai plus la force de respirer. C’est cette nuit, la nuit fatales. Mon Dieu ! s’il est vrai que tu existes, sauve donc des hommes qui sont dignes de toi...
La majorité nouvelle a pour noyau la Plaine, d’anciens Dantonistes et Girondins. Elle est soutenue contre le jacobinisme par les Thermidoriens de droite, Tallien, Fréron, Barras, terroristes repentis et « nantis », en face de Thermidoriens de gauche, Barère, Billaud-Varenne et Collot d’Herbois, restés attachés aux idées démocratiques du Comité.
Un peuple immense s’étant porté de Paris à Versailles les femmes ont rempli en un instant la salle des États. Parlant toutes à la fois, elles demandaient à grands cris que l’Assemblée fixât le prix du pain à deux sous la livre et à huit celui de la viande.
Nous rééditons, ci-après, un article paru dans le n°22 de l’Incorruptible pour le bicentenaire de l’exécution de BABEUF.
Le 13 Juillet 1793, Robespierre lisait à la tribune de la Convention le Plan d’éducation de Michel Le Peletier de Saint-Fargeau. Celui-ci avait été assassiné 6 mois plus tôt, le 20 Janvier 1793, pour avoir, le jour même, voté la mort de Louis XVI.
Ce rapport est un bilan de politique intérieure. Il s’agit de justifier la dictature révolutionnaire instituée en octobre 1793. Il signale les deux périls qui guette le gouvernement : les anarchistes et les modérantistes.
Le 24 juin 1793 la Constitution de 1793 (ou de l’An un) est adoptée par la Convention qui décide de la soumettre à la ratification populaire. Cette Constitution montre que la Montagne ne veut ni l’anarchie ni la dictature, est brève et simple
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